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Mercedes-Benz GLA

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samedi 4 janvier 2014

Aston Martin Vanquish Volante

La célèbre marque automobile de prestige, made in England, vient de présenter la voiture sa découvrable la plus puissante jamais proposée en grande série. Aston Martin installe, pour cette performance, un V12 de 573 chevaux sous le capot de sa Vanquish Volante. Volante c’est le patronyme de la marque pour désigner les versions cabriolet ou roadster.
573 chevaux en plein air !

Le V12 atmosphérique d’Aston Martin est installé dans une structure en aluminium, recouverte d'une carrosserie en carbone. Malgré cette chasse aux kilogrammes, la bête annonce tout de même une masse de 1.844 kg. Pourtant, elle est capable de réaliser un 0 à 100 km/h en 4.1 secondes. Quant à la vitesse de pointe, elle s'établirait à 295 km/h. pas de quoi inquiéter ses concurrentes : Mercedes SLS AMG GT, Ferrari 458 Italia Spider et la Bentley Continental GTC SuperSports qui se montrent encore plus rapides.

De plus comme la Vanquish coupé, l’ Aston Martin Vanquish Volante doit se satisfaire d’une boîte automatique six rapports vraiment moins moderne que les transmissions de la concurrence. Cependant la marque demande tout de même un chèque d’environs 270.000 €.



jeudi 2 janvier 2014

Le nouveau Toyota RAV4, un vrai 4x4 ?

C’est la question que vous ne devez surtout pas poser à votre distributeur Toyota. Si non, votre essai sera bien tourmenté => c’est le Synopsis du film publicitaire qu’a commandé la marque chez nos voisins Belge.
 Nous en profitons pour vous faire un résumé de se nouveau RAV4 qui a été dévoilée pour la première fois à Los Angeles. Véritable nouveauté, elle change de mensuration par rapport à sa devancière pour offrir une longueur en augmentation de + 20,5 cm, ainsi que sa largeur + 3 cm, mais moins haute - 2,5 cm. Ainsi, le Crossover Japonais mesure désormais : 4,57 m pour un empattement de 2660 mm. C’est l’habitabilité qui en profite avec un espace entre les sièges avant et arrière de 97 cm. Le coffre passe à un volume de 547 litres. 

Sous le capot, Toyota propose un 4 cylindres Diesel de 2 litres développant 124 chevaux uniquement disponible avec deux roues motrices et le Start&Stop pour afficher des émissions CO2 de 127 g/km. En quatre roues motrices, le 2.2D développe 150 chevaux est associé à une boîte manuelle ou automatique à six rapports. Toujours avec la transmission intégrale, le 2.0 l essence affiche 151 ch. Le constructeur laisse le choix entre une boîte manuelle à six rapports ou une boîte à variation continue.  

Description RAV4 D 4D

Photos de l'essai routier de la nouvelle Toyota RAV4 D4-D 2013 et 4ème génération de ce best seller Japonnais qui depuis 1994, et ses trois générations précédentes, se sont vendues dans plus de 150 pays à plus de 4,5 millions d’exemplaires – dont plus de 1,2 million en Europe.

Les photos sont faites avec la Toyota RAV4 Diesel 2.2 D4-D AWD BVA6 Lounge, la version la plus haut de gamme en France. Elle est vendue au prix de 38.390€ à son lancement 

En ce qui concerne le moteur : il s'agit d'un 4 cylindres diesel D-4D de 2.231 cm3 qui bénéficie d’un turbocompresseur à géométrie variable et d’une injection à rampe commune avec injecteurs piézoélectriques. Un système de contrôle informatisé TCCS (Toyota Computer Controlled System) à processeur 32 bits permet de contrôler précisément et simultanément le calage des injecteurs, la pression du carburant, le relais de préchauffage et la vanne EGR (recirculation des gaz d’échappement). 
Ce moteur développe 150 ch à 3.600 tr/min et 340 Nm de 2.000 à 2.800 tr/min. Il reçoit une boîte manuelle ou automatique, toutes deux à six vitesses, et une transmission intégrale.
L’adoption d’arbres d’équilibrage à deux axes entraînés par pignon et d’un couvre-culasse en résine annihile les vibrations moteur et atténue le bruit. Par ailleurs, le bloc-cylindres en aluminium et l’intégration des pompes à eau et à huile dans un carter de chaîne de distribution en aluminium procurent un gain de poids appréciable. Enfin, des culbuteurs à galet intégrant des roulements à aiguilles réduisent les pertes par friction, au bénéfice de la sobriété.

Au final, la consommation et les émissions des moteurs à boîte mécanique diminuent respectivement de 7,5 % à 5,6 l/100 km et 147 g/km, tandis que celles des versions automatiques diminuent de 7 % à 6,6 l/100 km et 173 g/km.

Peugeot 2008

C’est fait, Peugeot investit le marché des petits Crossovers. Ce matin à Genève le lion a présenté son nouvel opus : 2008 qui se positionne face au Captur de Renault également présenté en exclusivité mondiale en Suisse et face au précurseur le Nissan Juke sorti en 2010.
Qui aurait pensé que ce segment aurait pris une telle ampleur ? Avec moins de 1% de parts de marché sur le marché des citadines en 2008, le Crossover devrait représenter plus de 15% des ventes de voitures urbaines d’ici la fin de l’année. Entre le Juke de Nissan, le Captur de Renault, le 2008 et le C4 Aircross la gamme s’étoffe rapidement. 

L’atout principal du 2008 réside dans son prix d’appel : 15 000€. Face à un Nissan d’entrée de gamme s’échangeant à 16 790€ et un Captur à 17 000€ l’écart n’est pas négligeable. D’autant que le Peugeot présente une bonne qualité de finition, un look sympathique, une ligne plus sage que la concurrence mais élégante tout de même et un confort de qualité.

La planche de bord est issue directement de la 208, la finition et les matériaux sont de bonne facture même si on n’est pas dans le haut de gamme, format compact et ramassé avec 4.16m de long il s’agit là d’un Suv court et racé qui fait plus dans la discrétion que dans le « m’as-tu vu » proposé par Renault et ses coloris tape à l’œil. 

Le prix attractif a été serré grâce aux motorisations plus petites, ainsi l’entrée de gamme se fait avec le nouveau moteur 3 cylindres 1.2 de 82 chevaux pour monter au maximum à 120 chevaux en essence et 115 chevaux en diesel. Peugeot joue la carte de la simplicité, de la sagesse et de l’économie, ce qui peut être un atout majeur en ces temps de crise et créera probablement la différence sur les carnets de commande. 

Pour les motorisations diesel cela va du 1.4 Hdi 68 chevaux (faiblard il faut bien l’admettre) au 115 chevaux à boîte manuelle 6 vitesses en passant par le 1.6e Hdi de 92 chevaux plus convaincant que l’entrée de gamme. 

Côté essence, on commence au 1.2 de 82 chevaux plus dynamique que son petit frère diésélisé. Vient le 1.6 Vti de 120 chevaux très plaisant qui sera suivi dans 2 mois par les motorisations 110 et 130 chevaux. 
Comme pour le Captur il existe différents choix de couleurs, plus sages que le losange et disponibles via un système d’autocollants qui malheureusement présentent des bulles d’après les premières remontées de tests, à corriger. Le pavillon est réhaussé et rappelle celui d’un certain Matra Rancho des années 80 et ça n’est pas pour nous déplaire. Le frein à main est de type aviation et le coffre de contenance un peu réduite avec 360 litres contre 377 litres sur le Captur. 
La structure est allégée, pas de bas de porte style baroudeur comme chez Renault ni de carrosserie sculptée ou de passages de roues en plastique, simplement un break surélevé au look sympathique et très pratique. 
A noter que la visibilité arrière n’est pas très bonne en raison de la toute petite 3e vitre latérale qui est gênante. 
Un bon compromis
prestations/qualité/prix, le 2008 est disponible à partir de Mai 2013. Pour l’équipement, 5 finitions possibles : Access pour l’entrée de gamme, Active, Allure, Féline et Féline Club. 
ACCESS
Peugeot 2008 Access 1.2 VTi 82 ch : 15.200 €
Peugeot 2008 Access 1.4 HDi 68 ch : 16.700 €

ACTIVE
Peugeot 2008 Active 1.2 VTi 82 ch : 17.150 €
Peugeot 2008 Active 1.2 e-VTi 82 ch BMP5 : 18.050 €
Peugeot 2008 Active 1.4 HDi 68 ch : 18.450 €
Peugeot 2008 Active 1.6 e-HDi 92 ch : 19.700 €
Peugeot 2008 Active 1.6 e-HDi BMP6 92 ch : 20.400 €

ALLURE
Peugeot 2008 Allure 1.2 VTi 82 ch : 18.850 €
Peugeot 2008 Allure 1.2 e-VTi 82 ch BMP5 : 19.750 €
Peugeot 2008 Allure 1.6 VTi 120 ch : 19.850 €
Peugeot 2008 Allure 1.6 e-HDi 92 ch : 21.400 €
Peugeot 2008 Allure 1.6 e-HDi BMP6 92 ch : 22.100 €
Peugeot 2008 Allure 1.6 e-HDi 115 ch : 22.600 €

FELINE
Peugeot 2008 Feline 1.6 VTi 120 ch : 21.700 €
Peugeot 2008 Feline 1.6 e-HDi 92 ch : 23.250 €
Peugeot 2008 Feline 1.6 e-HDi 115 ch : 24.450 € 

FELINE CLUB
Peugeot 2008 Feline Club 1.6 e-HDi 92 ch : 23.250 €
Peugeot 2008 Feline Club 1.6 e-HDi 115 ch : 24.450 €

Bentley Mulsanne 2013

Bentley au top des ventes
Bentley continue d'enregistrer des résultats incroyables. L'entreprise annonce une augmentation de 9 % de ses livraisons, ce qui représente 4 279 voitures contre les 3 929 livrées au cours des six premiers mois de 2012. La croissance sur le marché le plus important de Bentley, les États-Unis, a été la clé de ce succès, tout comme les très bons résultats relevés en Europe. L’entreprise a renforcé sa présence mondiale en ouvrant 14 nouvelles concessions au cours de la première moitié de l’année, soit une expansion de 13 % par rapport à la même période en 2012.
Kevin Rose, membre du conseil des ventes et du marketing de Bentley, commente ces résultats : 

« Cette réussite se doit en partie au lancement de nouveaux modèles comme la Continental GT Speed et la Continental GT Speed Convertible qui ont rencontré un grand succès dans plusieurs régions, tandis que les modèles GT W12, V8 et Mulsanne sont toujours aussi populaires. » 

« Bentley continue d'enregistrer des ventes mondiales en forte hausse et nous sommes très confiants pour le reste de l'année 2013, d'autant que la nouvelle Flying Spur est maintenant disponible sur tous les marchés. » 

La région la plus importante de Bentley, les Amériques, continue d'afficher des résultats incroyables avec 1 282 voitures livrées, soit une augmentation de 12 % par rapport à la même période en 2012. Les modèles Bentley continuent d'être très convoités au Moyen-Orient, en particulier la Continental GT V8, ce qui se traduit par 394 voitures livrées dans la région soit une croissance de 28 %. Dans la région Asie-Pacifique, des bénéfices importants ont été réalisés avec la livraison de 222 voitures, soit une croissance de 53 %.

Le marché japonais a vu ses livraisons augmenter avec 96 voitures, ce qui représente une hausse de 28 %. 817 voitures ont été livrées en Chine, soit une baisse de 23% par rapport à l'année dernière. Le marché attend la totale disponibilité de la nouvelle Flying Spur, une voiture très adaptée à cette région. Les ventes des gammesContinental GT et Mulsanne ont cependant connu une croissance de 24 % par rapport à l'an dernier. 

La Russie, marché émergent clé pour Bentley, affiche des résultats en hausse grâce aux expansions du réseau. L'entreprise a notamment ouvert une nouvelle salle d’exposition dans la ville stratégique de Saint-Pétersbourg. Dans cette région, 110 voitures ont été livrées, soit une augmentation de 4 %. Cette vague de croissance s’est répandue en Europe, où une progression de 22 % a été enregistrée, avec 740 voitures livrées. Le Royaume-Uni a livré 698 voitures, ce qui correspond à 25 % de croissance par rapport à la première moitié de 2012.

Porsche 911-50th-anniversary-edition

Porsche souffle les 50 bougies de la 911

Il y en aura 1 963 exemplaires, comme l’année de sa première apparition, pas une de plus ! La 911 a été présentée pour la première fois au Salon de Francfort en 1963. Elle était dotée d’un « faux » bloc moteur qui ne fonctionnait pas et ne possédait que 2 compteurs ronds alors qu’elle en dispose de 5 désormais. Le moteur de série était un 6 cylindres 2.0l développant 130 chevaux. Le premier modèle a été produit pendant 3 ans. 
Afin de célébrer dignement les 50 ans de la mythique Porsche 911 la firme de Stuttgart a joué la carte de la nostalgie, en proposant un modèle « revival » directement inspiré des premiers modèles. Système de suspension active Porsche comme au début (PASM), jantes de 20 pouces inédites typées « Fuchs », touches de chrome, et intérieur très 60’S avec un habillage «cuir-tissu » en 2 teintes : gris agate ou noir avec des rappels vintage (« pepita design » des années soixante). 

Le compteur reprend également des indications du modèle 1963 ; éclairage en vert avec aiguilles blanches et clapets acier. 

Le moteur : un flat atmosphérique de « seulement » 400 chevaux. L’Edition Anniversaire avale tout de même le 0 à 100 km/h en 4.5 secondes. Des incrustations spécifiques « 911-50 » ont été faites sur les feux arrière à LEDS, et la belle possède un éclairage directionnel à diodes. Cette 911 est un parfait mélange du passé et de modernité, avec la boîte à double embrayage PDK, les palettes au volant, les systèmes de sécurité bien entendu, la navigation et le système multimédia Porsche. 

Le gabarit enfin nous rappelle que nous sommes bien en 2013, cette 911 n’ayant plus du tout les mêmes épaules que la « 901 » renommée en 911 à ses débuts.

Porsche 911 - 50e anniversaire : commercialisation : 23 09 2013 - prix : 121 119€

Description 911 50th anniversary edition

Modèle du jubilé : 911 50 ans.
Une classique. Du futur.

Le joyau de la marque Porsche fête son 50e anniversaire. Excellente raison pour que nous rendions honneur à cette idée de génie, en proposant la 911 50 ans. L’édition sera strictement limitée à 1 963 exemplaires, d’une 7e génération à l’allure totalement inédite.

La 911 n’a jamais eu une calandre classique. Jamais, pour aucune génération. Elle est depuis toujours pourvue d’entrées d’air qui lui donnent un avant typé Porsche. Les lamelles d’entrées d’air du modèle du jubilé sont de surcroît accentuées par un aspect chromé. Détail historique : l’impressionnante lèvre de spoiler avant. Elle donne une idée de ce que sera l’avenir de la 911. À l’avant, les ailes – tels des « repères de gabarit » selon les termes de Ferry Porsche – améliorent l’harmonie d’ensemble. Une harmonie extérieure que le conducteur peut apprécier depuis son siège. Autre détail sans doute, pour un design aussi élémentaire : les phares étaient et restent ronds. Une 911 est une 911. 

Sa poupe est également typique. Plus précisément, sa grille d’aération arrière. Elle clarifie un point : le moteur des 911 reste à l’arrière. La grille d’aération arrière noire est rehaussée de chrome. Les baguettes décoratives chromées qui encadrent les feux arrière prouvent également leur fidélité à la première génération. Ces quelques codes stylistiques bâtissent un pont entre ce modèle spécial et la première 911, de 1963. La forme de la poupe, évasée, fait également partie de la nature de la 911. Basse, large, effilée – celle-ci a tout d’une pur-sang racée, propulsée par un puissant moteur arrière. Pour ses 50 ans, la poupe de la 911 gagne 44 mm, à l’instar de la carrosserie des911 Carrera 4. Pour une meilleure tenue de route. Dernier détail, mais non le moindre. Le modèle 50 ans donne également dans le sentiment par son monogramme arrière : « 911 50 », qui reprend la célèbre typographie des premières 911. 

La jante « Sport Classic » reprend le design des célèbres jantes Fuchs.

Les jantes Fuchs ont fait leur apparition sur les routes en 1966, sur la 911 S, et seront proposées de série jusqu’en 1989. Pour les designers du modèle 911 50 ans, il allait de soi que ces deux icônes, voiture et jantes, marqueraient à nouveau l’alliance entre tradition et avenir. Dans un dessin classique, réinterprété par les technologies actuelles. Aluminium forgé, 5 branches, 20 pouces. La jante « Sport Classic » dans son design Fuchs est peinte en Noir, finition satinée brillante, avec voile et rebord polis. 

Dans le cockpit

En comparaison avec les premières 911, l’habitacle du modèle 50 ans est un instrument de précision : console centrale montante, volant SportDesign de série et système Porsche Communication Management (PCM) disponible en option pour les fonctions audio, navigation et communication. Dès les premiers modèles, le tableau de bord comptait 5 instruments ronds, le compte-tours était au centre. Et le contact était à gauche du volant – en souvenir des premiers départs du Mans, lorsque les pilotes couraient jusqu’aux voitures et démarraient plus rapidement si le contact se trouvait de ce côté. Jusqu’en 1967, pour une lisibilité et une fonctionnalité accrues, les graduations et les chiffres étaient verts, et les aiguilles, blanches. Sur la 911 50 ans, vous retrouvez cette particularité aussi dans le chronomètre Sport du Pack Sport Chrono optionnel. Une subtilité pratique et bien inspirée. 

Dans l’habitacle du modèle du jubilé, cuir et aluminium règnent en maître. L’intérieur classique allie les teintes Gris Quartz et Gris Geyser, ou Noir et Argent foncé, et se distingue particulièrement par les bandes centrales de siège, à l’avant comme à l’arrière. Elles s’habillent de tissu Classic, dans la matière et le motif stylé caractéristiques de la première 911 : le pied-de-poule. Classique dans son esprit, il devient, dans cette ambiance moderne, intemporel. Des coutures contrastantes en Gris Geyser ou Argent foncé font ressortir les bandes latérales. On les retrouve sur la partie supérieure du tableau de bord, sur les panneaux de porte et les panneaux arrière, ainsi que sur le volant SportDesign et les tapis de sol.

Des sièges sport électriques à 14 positions sont prévus d’origine. Ils peuvent être remplacés en option par des sièges sport adaptatifs Plus, à commande électrique et 18 positions pour mieux épouser votre morphologie. En option également, ces deux types de sièges pourront être chauffants.

Bmw Concept Ninety

 Bmw Ninety : le double anniversaire de Motorrad!
90 ans d’histoire du 2 roues, peu de fabricants motos peuvent se vanter d’une telle longévité, et d’un tel succès, comme Motorrad, branche moto de Bmw. 40 ans pour le modèle mythique de la marque à l’hélice : la « R-90S », 2 anniversaires, 2 raisons de fêter dignement l’évènement en présentant un modèle un peu spécial…
Pour fêter ce double anniversaire, la marque allemande présentera un concept au concours d’élégance de la Villa d’Este en Italie : la « Ninety ». C’est l’ancien pilote de course Roland Sands, reconverti dans le custom de motos qui, accompagné de toute son équipe a créé ce concept pour Bmw. 

Roland Sands est synonyme de finesse technique, de performance et de qualité, ce qui explique le choix de Bmw. C’est en 1973 que la R90 est apparu. La marque bavaroise présente alors au grand public son modèle qui deviendra phare : la « Stroke Six ». 200 km/h en vitesse de pointe elle devient vite une des motos de série les plus rapides au monde, et remporte alors une série de titres en compétition qui contribueront à l’image de Bmw en matière de motos. Carénage avant monté en série, arrière sportif, peinture orange « Daytona », la « R90-S » a vite acquis une identité unique. 

A cette époque et comme nous l’explique Bertrand Thiébault en préambule du dernier livre de Christian Debarre (créateur du célèbre « Joe Bar Team ») : « Chroniques du Joe Bar », les motos étaient dépourvus d’électronique, elles étaient simples mais efficaces, on arsouillait constamment sans pour autant être irrévérencieux, la moto avait une âme et cet esprit est incarné par la Bmw 90. D’autres fabricants ont emboité le pas à « Bm » en dotant par la suite leurs modèles d’un carénage de série et d’un arrière plus sportif. 

Rapide, bruyante et sauvage, procurant de l’émotion pure, la « R90 » vous apportait une montée d’adrénaline à chaque virée. 

Roland Sands a su ressusciter cet esprit « Superbike » chargé de vintage et d’émotion dans une apparence contemporaine. Le mélange passé/modernité est à la mode, et cette réinterprétation à l’occasion des 40 ans de l’allemande devrait à coup sûr plaire aux plus de 40 ans. Les proportions de base ont été respectées, le carénage, réservoir, la selle et la queue ont été conservées et signent le lien familial direct avec la Bmw 90R-S. Dans les années 70 la partie supérieure des motos était bien démarquée de la partie basse, Roland Sands et son équipe ont respecté ce design très « revival », la carrosserie ergonomique et aérodynamique supérieure est bien séparée du moteur et du châssis noir. 

La peinture orange du « Ninety » rend bien évidemment hommage à la couleur originelle de la machine qui était habillée du fameux « orange Daytona ». Le phare rond est conservé mais animé par des feux à LEDS et oui, nous sommes bien en 2013. En observant de plus près ce concept « Ninety », on constate que comme à l’accoutumée, Robert Sands a usiné des pièces de haute qualité pour ce modèle unique ; les parties mécaniques du moteur portent bien la signature « Sands », comme le capot avant du moteur et les couvercles de soupapes ou encore l’échappement. Un travail particulier a également été consacré à la conception des jantes, qui rappellent les modèles de course des « 70’s », freins, commandes d’embrayage, bras Paraveler et filtre à air sous le siège, tout a été étudié avec précision afin de faire ressortir l’originalité de la moto, là mixant avec minutie à notre époque. 

Toutes ces pièces faites sur mesure font de cette « Ninety » un modèle unique qui rend un bien bel hommage à la « 90 » de Bmw.